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Nous pouvons “faire pour” – soit travailler sur un objectif précis avec un cerveau contraint par le but. Nous pouvons aussi “faire avec” – soit, au lieu de se fixer un objectif, partir de qui nous sommes, de ce que nous connaissons, de qui nous connaissons et laisser les objectifs émerger. Logique causale / logique effectuale, deux logiques différentes, et complémentaires.
Si, dans notre tête, nous savons pas où nous allons, nous le savons en agissant (…) Faites précéder la parole par de l’action. Car il restera toujours qu’agir sans parler l’emporte sur le fait de parler sans agir, Nassim N. Taleb, « Jouer sa peau »
Avoir une idée, c’est bien, la mettre en mouvement, c’est quand même mieux. Parfois, la procrastination peut gagner le tenant d’une idée. Quelle peut-être l’intention positive de cette procrastination ? Nous protéger, nous laisser dans notre zone de confort, de sécurité, notre routine. Ne pas nous confronter à l’échec, qui nous fait peur, ou à la réussite, qui peut nous endormir (je suis le roi du monde) ou nous déprimer (que faire après ?)
Si vous « attendez d’être prêt » avant de vous lancer, vous traiterez votre idée comme un vague horizon, comme une chimère, comme une illusion d’optique. Les pires ennemis des idées sont probablement la contemplation, la rêverie, la maturation perpétuelle. Sachez-le, il arrive le jour où l’expérimentation doit prendre le pas sur l’introspection. En d’autres termes: passez à l’action, pensez avec vos mains, élaborez des prototypes, etc. Et nous pouvons faire cela ensemble !
Choisir, c’est se reposer sur des critères rationnels. Décider, c’est compenser l’insuffisance de ces critères par l’usage de sa liberté. Choisir, c’est savoir avant d’agir. Décider, c’est agir avant de savoir. (…) Dans notre pratique professionnelle, nous parlons souvent à tort de décisions alors qu’il ne s’agit que de choix. Lorsque nous n’avons qu’à nous fier au bon sens ou à un tableur Excel, lorsque nous n’avons qu’à respecter les habitudes ou les process, nous n’avons, au sens propre, rien à décider. La question de la décision se pose lorsque nous avons épuisé les ressources de notre raison et qu’une part d’incertitude demeure. Si nous ne pouvons être sûrs que notre choix sera le bon, alors nous sommes face à la nécessité de prendre une décision -du latin decidere, »couper », trancher. C’est parce que nous ne « savons » pas qu’il faut décider !
La difficulté n’est pas de voir ce que personne n’a vu mais de penser comme personne n’a jamais pensé au sujet de quelque chose que tous voient
Nous ne voyons pas le monde tel qu’il est, mais tel que nous sommes
En nous efforçant d’atteindre l’inaccessible, nous rendons impossible ce qui serait réalisable